D’abord un sourire, des yeux qui pétillent. Armindo est un intuitif, malicieux, et de joyeuse compagnie. À vélo, c’est une boule de nerf, bourrée d’envie et de jus. En 2014, il n’avait pas que vécu son premier Tour de France sans complexe. Il avait gagné, enfin. Une étape des Boucles de la Mayenne en juin –douze podiums avaient précédé !- et surtout le Tour de Vendée en octobre, la Coupe de France PMU des jeunes à la clé. Le peloton français, qui connaissait déjà son talent, le regarde depuis d’un autre œil. Même s’il a connu une année 2015 plus difficile en terme de résultats. On a alors découvert une autre facette d’Armindo : son courage extrême. Dans les Alpes, la dernière semaine du Tour, il était souffrant mais a tout de même rallié Paris une fois encore alors. On le retrouvera plus fort en 2016, c’est certain. Descendu de son vélo, un peu de rap dans les oreilles, il gardera toutefois un œil sur les résultats du Stade Rennais, son club de cœur, et sur les stats de Cristiano Ronaldo, son idole.
Les trois mots qui selon lui le caractérisent : » Gentil, honnête, courageux. «
Mon papa et mon cousin.
Un Cycles Dubourg, en alu, rouge.
Mon échappée solitaire sur le Tour de France.
Participer au Tour de France.
Être libre de pouvoir m’entraîner à l’heure que je veux.
Me dépasser.
La Flèche wallonne.
Fons.
Laurent Pichon, Romain Hardy, mes coéquipiers de Fortuneo-Vital Concept.
Le golf, le foot.
The weeknd.
Call of Duty et FIFA.
Avatar, la vérité si je mens, Les visiteurs, Les trois frères.
Florian Guillou !
La bacalhau, la morue à la portugaise..
Une Lamborghini Aventator.
Je n’ai pas de regret.
Une famille.
Marion, ma compagne.